hôtel Iwan Simonis







Fils de Jacques-Joseph Simonis et unique héritier, Jean-François "dit Iwan" reprit l’entreprise familiale sous le nom de société Iwan Simonis et lui insuffla une impulsion particulière. Il fut Bourgmestre de Verviers et président de la Chambre de Commerce de 1817 à 1826. Bordant la rue de Limbourg, vestiges des murs et pavillons d’entrée de la propriété d’Adolphe Simonis "dit Iwan""comprenant avant l’installation du chemin de fer en 1843 de vastes jardins et dépendances s’étendant jusqu’à Stembert.







Parallèles à la rue, au fond d’une vaste cour pavée, des anciennes remises à équipages et écuries de la propriété ainsi que le majestueux hôtel. Très vaste bâtiment en briques et calcaire de la première moitié du XIX° siècle. Sous fronton triangulaire, trois travées centrales en avant-corps cantonnées de refends et ouvertes de hautes entrées cochères au cintre appareillés en refends sur jambages monumentaux occupant tout le rez-de-chaussée également à refends et ajourés d’ouvertures rectangulaires. Larmier au-dessus des montants marquant la limite du 1er niveau. Niches circulaires entourées de calcaire et ornées d’une console, dans les écoinçons. A gauche et aussi jadis à droite, longue aile de six travées d’ouvertures à linteau droit entourés de calcaire au rez-de-chaussée, de briques à l’étage, interrompues par une haute entrée charretière cintrée à claveaux passants d'un-sur-deux sur des montants à refends. Séparant les deux niveaux, bandeau continu des appuis saillants prolongés. Sous les bâtières de tuiles, série de fines ouvertures rectangulaires, éclairant les combles.




















                                        









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